dodo or not dodo?
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dodo or not dodo?
par Miko Nayuki Mar 6 Juil 2010 - 16:18
Il était tard, Miko Nayuki n'avait pas vue le temps passer. Depuis son arrivé ici, le jeune brun avait prit l'habitude de se réfugier pendant son temps libre dans un coin abrité sur le toit. Il y avait arrangé un coin confortable avec son univers un peu enfantin qu'il cachait aux yeux des autres. Cette fois-ci il y avait amené des mangas qu'il avait acheté dans la journée et les avait lu s'en voir le temps passé. L'adolescent n'était pas un otaku , loin de là mais c'était juste que depuis qu'il habitait dans cet établissement ,il n'avait pas encore trouvait de camarade prés à le suivre dans toutes ses folies. Mais ce ne serait tardé...
Quand Miko avait levait son nez de ses mangas, il faisait déjà sombre. L'adolescent au visage enfantin sortit de sa cachette et décida de retourner dans sa chambre. Il descendit du toit et se dirigea dans les couloir des chambres des garçons. Une fois arrivé devant sa porte , l'adolescent aux cheveux noirs fouilla dans sa poche la clé de sa chambre...Et ne la trouva pas. Sans paniquer , il entreprit de chercher dans le moindre recoins de ses vêtements mais toujours rien. C'est là qu'il commença à paniquer.
C'était un problème qui pouvait arriver à tout le monde...Mais pourquoi à lui? Miko passa une main dans ses cheveux déjà ébouriffés et réfléchit au moyen de rentrer dans sa chambre avant qu'un surveillant ne le surprenne.
Peut-être demander à un élève de l'héberger pendant une nuit le temps de retrouver ses clés. Ou peut-être passé par la fenêtre...ou pas. Il y avait quand même plusieurs étages de la fenêtre au sol...L'adolescent souffla en passant une nouvelle fois ses mains dans ses cheveux de plus en plus en bataille. Il se laissa glisser au sol, dos contre le mur,au moins il avait ses mangas dans son sac. Le sac...Il n'avait pas cherché dans son sac. Il en retourna le continu rapidement et chercha.
Elle n'y était pas... Miko étouffa son cri de colère en mordant dans un de ses mangas. Il le regretta aussitôt car il en resta une trace...Vraiment pas de chance aujourd'hui... Le jeune brun entreprit de ranger ses affaires dans son sac en prenant son temps. Il savait que quand il était agacé , la maladresse l'accompagné et cela l'énervait encore plus , donc mieux valait faire attention.
Dans la couloir la lumière s'éteint. Miko se retint de ne pas jurer. Il passa encore une fois, comme un tique nerveux une mains dans ses cheveux noirs corbeau et se releva. Il tendit l'oreille car en direction de la droite il pensait entendre des bruits de pas...Un surveillant? Un élève qui aurait comme lui les horaires des couchés? Ou quelqu'un d'autre?
Quand Miko avait levait son nez de ses mangas, il faisait déjà sombre. L'adolescent au visage enfantin sortit de sa cachette et décida de retourner dans sa chambre. Il descendit du toit et se dirigea dans les couloir des chambres des garçons. Une fois arrivé devant sa porte , l'adolescent aux cheveux noirs fouilla dans sa poche la clé de sa chambre...Et ne la trouva pas. Sans paniquer , il entreprit de chercher dans le moindre recoins de ses vêtements mais toujours rien. C'est là qu'il commença à paniquer.
C'était un problème qui pouvait arriver à tout le monde...Mais pourquoi à lui? Miko passa une main dans ses cheveux déjà ébouriffés et réfléchit au moyen de rentrer dans sa chambre avant qu'un surveillant ne le surprenne.
Peut-être demander à un élève de l'héberger pendant une nuit le temps de retrouver ses clés. Ou peut-être passé par la fenêtre...ou pas. Il y avait quand même plusieurs étages de la fenêtre au sol...L'adolescent souffla en passant une nouvelle fois ses mains dans ses cheveux de plus en plus en bataille. Il se laissa glisser au sol, dos contre le mur,au moins il avait ses mangas dans son sac. Le sac...Il n'avait pas cherché dans son sac. Il en retourna le continu rapidement et chercha.
Elle n'y était pas... Miko étouffa son cri de colère en mordant dans un de ses mangas. Il le regretta aussitôt car il en resta une trace...Vraiment pas de chance aujourd'hui... Le jeune brun entreprit de ranger ses affaires dans son sac en prenant son temps. Il savait que quand il était agacé , la maladresse l'accompagné et cela l'énervait encore plus , donc mieux valait faire attention.
Dans la couloir la lumière s'éteint. Miko se retint de ne pas jurer. Il passa encore une fois, comme un tique nerveux une mains dans ses cheveux noirs corbeau et se releva. Il tendit l'oreille car en direction de la droite il pensait entendre des bruits de pas...Un surveillant? Un élève qui aurait comme lui les horaires des couchés? Ou quelqu'un d'autre?
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Re: dodo or not dodo?
par Shiguré Soma Mer 7 Juil 2010 - 15:17
Shiguré, vêtu de son éternel kimono de « grand écrivain » comme il disait, trainait dans les couloirs depuis plus d’une heure. Ou plutôt il errait. Il n’avait ni but ni envie précise, il se contentait de marcher, de déambuler sans même savoir où ses pas le menaient. En effet depuis qu’il était revenu au pensionnat le sommeil lui faisait défaut. Il ne savait pas s’il devait mettre cela sur le compte de l’exitation de toutes les choses nouvelles qu’il allait vivre ici ou sur la crainte de ne pas être à la hauteur des fonctions qu’on lui avait attribuées et pours lesquelles il n’avait pas brillé par le passé.
Depuis quelques minutes, il lui avait semblé entendre du bruit en direction du couloir des dortoirs, à une heure où les élèves devaient sans doute tous dormir à point fermé comme les adorables et obéissants enfants qu’ils étaient. Il avait donc dirigé sa marche nocturne vers cet endroit en supposant qu’il s’agissait de Wolfram en quelconque ébat avec l’un de ses camarades. Cela lui ressemblait bien de faire ce genre de chose au moment où c’était interdit. Et le professeur de théâtre se ferait un malin plaisir de le rappeler à l’ordre en plus de briser son moment romantique.
Le professeur de théâtre se dirigea dans le noir jusqu’à l’endroit d’où le bruit c’était échappé. Et lorsqu’il lui sembla sentir la présence d’une personne, pour le moins muette, il alluma brusquement sa lampe de poche dans sa direction.
Quelle ne fut pas sa surprise de trouver dans le rayon de lumière nouvellement crée un étudiant aux cheveux d’ébènes et au regard énervé. Le total opposé de l’élève qu’il avait voulu surprendre. Shiguré ouvrit grand les yeux de surprise et eut un léger mouvement de recul, incapable de prononcer pour le moment la moindre phrase de sanction. Il ne connaissait pas cet élève. Il avait du arriver dans le pensionnat durant son absence. Partir ainsi pendant toute année avait bien des désavantages. Ne sachant donc pas si l’étudiant était plutôt du genre rebelle ou s’il était simplement un bon élève prit d’une crise d’insomnie sans nom il décida de ne pas se prononcer immédiatement quand à la sanction, comme il l’aurait fait avec l’un des élèves qu’il connaissait.
L’air toujours un peu surpris, et le rayon de lumière toujours braqué sur l’étudiant, Shiguré demanda « On peut savoir ce que tu fais assis par terre dans le couloir, dans le noir, à une heure pareil ? »
Négligeant toutes règles de politesse de base, l’écrivain ne c’était même pas présenté, et n’avait pas pris en compte le fait que la personne à qui il s’adressait ne le connaissait absolument pas et risquait fort de se demander pourquoi cet homme étrange s’adressait à lui de la sorte.
Depuis quelques minutes, il lui avait semblé entendre du bruit en direction du couloir des dortoirs, à une heure où les élèves devaient sans doute tous dormir à point fermé comme les adorables et obéissants enfants qu’ils étaient. Il avait donc dirigé sa marche nocturne vers cet endroit en supposant qu’il s’agissait de Wolfram en quelconque ébat avec l’un de ses camarades. Cela lui ressemblait bien de faire ce genre de chose au moment où c’était interdit. Et le professeur de théâtre se ferait un malin plaisir de le rappeler à l’ordre en plus de briser son moment romantique.
Le professeur de théâtre se dirigea dans le noir jusqu’à l’endroit d’où le bruit c’était échappé. Et lorsqu’il lui sembla sentir la présence d’une personne, pour le moins muette, il alluma brusquement sa lampe de poche dans sa direction.
Quelle ne fut pas sa surprise de trouver dans le rayon de lumière nouvellement crée un étudiant aux cheveux d’ébènes et au regard énervé. Le total opposé de l’élève qu’il avait voulu surprendre. Shiguré ouvrit grand les yeux de surprise et eut un léger mouvement de recul, incapable de prononcer pour le moment la moindre phrase de sanction. Il ne connaissait pas cet élève. Il avait du arriver dans le pensionnat durant son absence. Partir ainsi pendant toute année avait bien des désavantages. Ne sachant donc pas si l’étudiant était plutôt du genre rebelle ou s’il était simplement un bon élève prit d’une crise d’insomnie sans nom il décida de ne pas se prononcer immédiatement quand à la sanction, comme il l’aurait fait avec l’un des élèves qu’il connaissait.
L’air toujours un peu surpris, et le rayon de lumière toujours braqué sur l’étudiant, Shiguré demanda « On peut savoir ce que tu fais assis par terre dans le couloir, dans le noir, à une heure pareil ? »
Négligeant toutes règles de politesse de base, l’écrivain ne c’était même pas présenté, et n’avait pas pris en compte le fait que la personne à qui il s’adressait ne le connaissait absolument pas et risquait fort de se demander pourquoi cet homme étrange s’adressait à lui de la sorte.
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Re: dodo or not dodo?
par Miko Nayuki Jeu 8 Juil 2010 - 15:25
Instinctivement le jeune adolescent mis une main devant son visage pour essayer tant bien que mal de se protéger de la lumière trop intensive. Miko eut du mal à distinguer la personne qui se trouvait en face de lui. Un élève? Un surveillant? Un professeur? Se levant , le brun se raidit en entendant le ton autoritaire naturel de la personne en face de lui. C'était soit un professeur ou un surveillant donc. Restant droit comme un « i » , l'adolescent au visage enfantin hésita un moment avant de répondre. Il n'allait quand même pas raconter qu'il avait été sur les toits alors que c'était interdit. Bon il raconterai une partit de l'histoire. Miko prit une légère inspiration pour se donner du courage et commencer à mentir.
« J'ai, je me suis endormi euh... dans un coin du couloir et j'ai pas vu le temps passer... »
Miko se serait donné une claque tellement sa voix tremblait et que sa phrase paraissait fausse. Toutefois ,il parla avec plus d'assurance pour la suite de son histoire qui était elle vrai.
« ..J'ai perdu ma clé aussi... »
Une fois que sa vision commença à s'accommoder à la lumière toujours dirigé vers lui, Miko put apercevoir un homme habillé d'une kimono. L'adolescent se demanda une fois de plus à qui il avait à faire. Il passa une main dans ses cheveux ébouriffés et osa poser la question.
« Excusez moi mais vous êtes qui? »
En espérant que la personne ne se braque pas. Et puis Miko venait de réfléchir à un moyen de s'en sortir et d'éviter toutes punitions. Si l'homme en face de lui commençait à s'énerver il partirai en courant. Vu la pénombre, l'homme n'aura pas bien vu son visage et basta!
Le jeune brun en sourit et se décolla du mur où il était restait presque pétrifié. Mais dans ses quelques pas il trébucha sur son sac resté toujours au sol et manqua de tomber. Il se rattrapa de justesse et se remit presque au garde à vous devant l'homme en kimono.
« J'ai, je me suis endormi euh... dans un coin du couloir et j'ai pas vu le temps passer... »
Miko se serait donné une claque tellement sa voix tremblait et que sa phrase paraissait fausse. Toutefois ,il parla avec plus d'assurance pour la suite de son histoire qui était elle vrai.
« ..J'ai perdu ma clé aussi... »
Une fois que sa vision commença à s'accommoder à la lumière toujours dirigé vers lui, Miko put apercevoir un homme habillé d'une kimono. L'adolescent se demanda une fois de plus à qui il avait à faire. Il passa une main dans ses cheveux ébouriffés et osa poser la question.
« Excusez moi mais vous êtes qui? »
En espérant que la personne ne se braque pas. Et puis Miko venait de réfléchir à un moyen de s'en sortir et d'éviter toutes punitions. Si l'homme en face de lui commençait à s'énerver il partirai en courant. Vu la pénombre, l'homme n'aura pas bien vu son visage et basta!
Le jeune brun en sourit et se décolla du mur où il était restait presque pétrifié. Mais dans ses quelques pas il trébucha sur son sac resté toujours au sol et manqua de tomber. Il se rattrapa de justesse et se remit presque au garde à vous devant l'homme en kimono.
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Re: dodo or not dodo?
par Shiguré Soma Mer 28 Juil 2010 - 22:40
Shiguré ricana, un air moqueur sur le visage, lorsque l’élève en fasse de lui manqua de se casser la figure. Passant une main devant sa bouche pour cacher son sourire, il toussota avant de reprendre la conversation, un brin plus sérieux :
« Je me présente, Shiguré Soma, professeur de théâtre » s’exclama l’écrivain nullement surprit que l’élève ne le connaisse pas « Je viens tout juste de regagner le pensionnat après un an d’absence et voilà que tu me causes déjà des ennuis. » continua t il sur un ton que ses amis aurait reconnu pour être celui de la plaisanterie, mais que l’élève qui lui faisait fasse pouvait bien prendre pour de l’énervement.
Posant sa main libre sur sa hanche et agitant celle qui tenait la lampe au fur et à mesure qu’il parlait, décrivant ainsi dans l’air de longs traits lumineux pendant quelques secondes, Shiguré reprit sur un ton plus doux :
« Hum, tu as perdu ta clé ? C’est plutôt problématique, ça. Dis moi, comme je viens juste de rentrer je ne connais pas encore tous les nouveaux élèves, alors à quelle section appartiens tu ? Les personnes de ton dortoir pourraient peut être t’aider non ? Et qui sait peut être que la personne qui te viendra en aide sera un beau et jeune garçon au corps d’apollon et au sourire charmeur. Ce serait le début d’une somptueuse idylle tombant à pic pour ensoleiller cet été qui commence… »
Shiguré afficha un sourire béat et satisfait. Puis il rajouta, plus bas, pour lui-même « Ah à mon époque, les étudiants savaient profiter des charmes de la nuit autrement… » On pouvait sentir dans sa voix un soupçon de nostalgie.
« Je me présente, Shiguré Soma, professeur de théâtre » s’exclama l’écrivain nullement surprit que l’élève ne le connaisse pas « Je viens tout juste de regagner le pensionnat après un an d’absence et voilà que tu me causes déjà des ennuis. » continua t il sur un ton que ses amis aurait reconnu pour être celui de la plaisanterie, mais que l’élève qui lui faisait fasse pouvait bien prendre pour de l’énervement.
Posant sa main libre sur sa hanche et agitant celle qui tenait la lampe au fur et à mesure qu’il parlait, décrivant ainsi dans l’air de longs traits lumineux pendant quelques secondes, Shiguré reprit sur un ton plus doux :
« Hum, tu as perdu ta clé ? C’est plutôt problématique, ça. Dis moi, comme je viens juste de rentrer je ne connais pas encore tous les nouveaux élèves, alors à quelle section appartiens tu ? Les personnes de ton dortoir pourraient peut être t’aider non ? Et qui sait peut être que la personne qui te viendra en aide sera un beau et jeune garçon au corps d’apollon et au sourire charmeur. Ce serait le début d’une somptueuse idylle tombant à pic pour ensoleiller cet été qui commence… »
Shiguré afficha un sourire béat et satisfait. Puis il rajouta, plus bas, pour lui-même « Ah à mon époque, les étudiants savaient profiter des charmes de la nuit autrement… » On pouvait sentir dans sa voix un soupçon de nostalgie.
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