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Fiction de bibi

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Fiction de bibi Empty Fiction de bibi

Message par Ginko Mushi Sam 4 Juin 2011 - 15:52

J'ai commencer à écrire un fic, qui m'a été inspiré par un intro de rp que j'ai faite. j'écris cette fic avec un amis, il s'occupera du deuxieme chapitre. désolé pour les fautes d'orthographe

    D'ambre et d'ébène


    chap 1: les liens


    Sans toi...


    Le soleil se lève, engourdis de l'étreinte de la nuit, il jette sa lumière d'ambre dans la chambre nue, Royal dans son aura bleuté. Les radiances pures de l'aurore chaste viennent caresser la peau qui doucement scintille. Le grain fin d'un toile d'opale trempée. Glissant sur le marbre, il épouse les formes et baisent le corps nu qui repose sur les draps de nacre. Glissant comme un amant, sur le dos cambré, caressant la poitrine marmoréennes qui se soulève, esclave d'un respiration profonde et endormie. Soufflant lentement sur le menton pointu pour glissé sur les lèvres vermeilles, il lèche le visage angélique et glisse ses doigts d'or dans la chevelure brune qui s'étale comme les pétales d'une rose sur les draps froissés. Érotisme ensommeillé dans la chair de ce corps que le soleil embrasse de ses rayons légers emprunt d'aurore. Les yeux s'ouvre, promesse de vie, perdus ils s'étalent, deux orbes bleues au reflets verts qui cherchent quelques chose, il roule dans l'écrin de leur paupière, semblent tristes, la poitrine se bloque un sanglot long retentis. Le corps se lève et s'en va tâté les draps, en quête de quelque chose qui n'est pas là. Des larmes commence à affluer et assombrir le blanc du drapé pâle. Un frisson se promène sur l'échine du corps imberbe et doux, tandis que le poitrine râle dans un pleurs désespéré. Ce n'est plus là. Le rêve s'est éteins, avec lui l'espoir qui avait embrassé l'ange. La statue d'ambre s'anime et se lève brillant dans la clarté qui l'inonde, pâle sous la nue ou la lumière pleut. Ses lèvres tremblent encore. Fermer les yeux et imaginer. Les lèvres rêvent tandis que les yeux inventent. Son cœur lui rappelle la genèse d'un corps. Un souvenir se trace derrière ses paupières closent, le souvenir d'un sourire. Deux lèvres pâle tirée dans un mensonge, tracée sur un peau d'opale. Un soupir, engourdis de langueur. Les paupière s'ouvrent à nouveau sur le vide de cette chambre aux accent de boudoir. Les yeux se pose sur le lit, en constatant la solitude. L'archange se rallonge et prend entre ses bras un oreille. Il le serre contre lui avec la force de la mélancolie. Le vent printanier cracher par la fenêtre viens secoué les cheveux d'aube. Les larmes coulent, la peine se fait indomptable tandis que la voix déchirée souffle Son nom comme un mantra sacrée. Poésie de la peine endormie dans la solitude. Il hume les draps ou l'Autre à imprimé son odeur. Que reste-t-il de toi? Une odeur perdu sur un oreille, un voix qu'on essaye d'oublier, une mage perdue dans les mémoires, et chaque larmes qui coulent, et chaque sanglots ou il s'écroule. Ne reste de toi qu'un image imprécise et pâle, un fractale de soupirs. Un réminiscence perdu dans un souffle. Ne reste de toi que l'encre de ses souvenirs. Et il se rappelle. Une statue d'ambre qui cache un cœur ébène. Il s'est éveillé dans le souvenirs de la dernière nuit. Le dernière étreinte et le dernier baisé. Il s'est réveillé avec la sensation de ta peau sur la sienne. Un souvenir, c'est tout ce que tu lui as laissé. Il t'a aimé s'est perdus dans le violet de tes yeux. Il t'a tout dis, t'a tous donné. Il t'as offert tout ce qu'il était. Il s'est rappelé, dans la gangrène des ses songes le goût de tes lèvres, leur saveur sucrée. Il s'est rappelé ta fragrance florale, cette odeur de rose au accent de bois précieux. Il s'est rappelé le cristal de ta voix, le ton doux caressant. Il s'est rappelé tes formes, et ton visage qu'il a tant aimé. Il s'est rappelé la complétude qui l'animait quand ton corps et le sien ne faisaient plus Qu'un. Perdus dans l'odeur de ton haleine, tout son monde ne se résumait qu'à toi. Tu étais ce qu'il a toujours cherché. Tu étais son espoirs. Tu étais sa vie. Et l'essence de son cœur a explosé avant le levé du jour, le temps c'est arrêté suspendu pour toujours. Il tenté de te noyer dans ses larmes, mais chaque perles salées faisaient échos à ta voix. Il a voulu t'oublier mais n'en a pas eu la force. Et ce matin il c'est éveillé, et comme chaque matin, il a cherché ton corps, mais tu n'est plus là. As-tu juste éxister. N'étais-tu pas qu'un rêve. Un fantasme, un écrin d'ambre, renfermant une âme ébène? Il a attendus, chaque jours ton retour, ne pouvant imaginer que tu étais partis. Il a espérer chaque soir ton retours. Mais tu n'es jamais revenu. Un mot. Huit lettres. Deux syllabes. Trois consonnes. Cinq voyelles. Un mot qui a rythmé sa vie depuis ce jour où tu t'es enfui. Ce mot qui couvre la réalité de son existence nouvelle: « pourquoi? ». La vie t'a arracher, et lu l'as oublier. Je l'ai oublie, car tu es moi. Il fut ce que tu as cru aimer. En quelques nuit, tu as crus trouvé celui qui partageras mon âme. Mais la vie m'as exciser à son existence. Elle m'a volé. Elle ma plongé dans l'enfer. Elle m'a brisé. Puis je l'ai brisé. S'il savais comment je regrette. Il ne le sauras jamais. Avec ce jour soleil rieur, qui inonde son corps nu,il viens de réalisé que tu es parti pour toujours. Il ne peut pas le supporté. Alors que va-t-il faire? Kawanda. Que vas-tu faire?

    * *
    *

    Le lien du partage.

    Les cédres élèvent leurs cîmes, carressant le ciel mousseux, frissonants sous la brise froide. Leurs branches s'étalent, noyant la nue (ciel) à ceux qui sont enfermés dans leur écrin vert au plafond tremblotant. Kawanda est là, assis dans la forêt du parc, le dos appuyé à un tronc noueux. Les yeux fermés, il hume les odeurs sylvèstres, la bouche cachée dans son kéffieh noir et blanc. Il semble dormir. Le visage paisible et le traits souriants. Détendus. Les cours avaient pris fin il y a peu et il avait décidé de s'octroyer quelques minutes de repos avant de rentrer chez lui. Le souffle profond et l'âme miroitante, il n'entendit pas le jeune homme s'assoire à quelques mètres en face de lui. Une ombre, Fantomatique et diaphane. Il se mit à le détaillé de son regard d'amétyste. Ses yeux se posèrent d'abord sur la chevelure courte et brune avant de glissé sur le front d'ambre jusqu'aux paupières closes, imaginant les orbes qu'elles voilent. Continuant son exploration, il descendit la courbe parfaite du nez pour attérir sur les lèvres fine, imaginant leur touché, rêvant de leur goût. Il descendit encore sur le cou fin pour s'interesser au buste découverte par la chemise ouverte, en appréciant les formes, en gouttant la musculature fine. Kawanda l'attirait. Il l'avait déjà appercu dans les couloirs, époustoufflé par son regard Gris bleu profond, tant qu'il avait abandonné sa misanthropie pour prendre contact avec ce jeune Adonis. Lentement, ouvrant son paquet, il sortit un cigarette et fit claquer le briquet, les deux yeux s'ouvrirent, surpris.

    L'ombre aux yeux violets parla pour la première foi depuis son arrivée à ce lycée.

    _ Désolé de ne pas m'être annoncé, j'ai cru que tu dormais. C'était tout à fait mignon d'ailleur.

    Kawanda écarquilla les yeux, intimidé et gèné par cette voix qu'il n'avait jamais entendus, Mais surtout, par ce regard à la teinte si singulière. Daisuke, celui qui ne parle jamais, la solitude incarnée, une symphonie de noirceurs, mystique, un démon, luxure et péchers. Attires-le.

    _ Je... Je ne dormais pas... les yeux fixé sur ceux de son vis-à-vis, Kawanda ajoute, surement pour lancer la conversation. Dis moi, tes yeux, c'est ta couleurs naturelle?

    Un rire cristallin lui répondit, pur, beau, ce rire le fit frissoner.

    _ Ouais, je sais c'est zarb, répliqua Daisuke, un sourire en coin et une paire d'yeux à l'expression ravageuse. Tant qu'elle fit rougir kawanda, qui passa une main dans ses cheveux, nerveusement, en détournant son regar de celui de son mystérieux compagnon.

    Daisuke tourna sa tête vers la droite, laissant le vent emporté ses pensées noires. Et mon dieux qu'il était beau! Un visage de procelaine fine incrustée de deux orbes d'amétyste. Pure symphonie de violet. Un visage fin, comme taillié dans le marbre par quelques antiques sculpteurs de génis. Des traits gracieux et précieux encadrés par un cascade ébène. Un cou long enraciné dans un corps svelte masqué par un T-shirt noir déchiré exhibant quelques parcelles de peau irréèlement pâle. Diaphane. Lentement, ses yeux retourne se poser sur ceux de Kawanda

    _ Ca te dit d'aller boire un verre, faire connaissance et tous ça?

    Son sourir tirée sur lèvres. Ses yeux pétillant de malice. Sa voix chaude aux intonations sulfureuse. Et cette dégaine, cette dégaine purement indescriptibles. Comment pourrais-t-il refuser. Un hochement de tête pour acquiescer. Il n'a pas la force de parler. Lentement, doucement, sensuellement, la main de daisuke saisis celle de Kawanda pour l'aider à se relever. Un nouvelle vague de pourpre s'approprie son visage.


    Les heures s'éffilochaient comme la substance d'un cadavres qu'on dépèce. Toute la gène de Kawanda avait disparu, il se sentait détendu, voire curieux. Mais aussi, il était étreint d'un très forte attirance envers Diasuke. Cet être le magnétisait inexplicablement, et inéluctablement, sans qu'il s'en rende compte, il s'abandonnais aux deux orbes amétystes. Les discutions tournaient autour d'un questionnaire réciproque, le but étant de s'approprié le plus possible de connaissance sur l'autre. Kawanda et sa vie “normal”, mais pourtant bien hantée par quelques fantômes sadiques. Daisuke... Son passé éxpliquait bien sa personnalité mysanthrope. Et c'est dans l'intimité d'un parc, autour de quelques bierre que le premier lien c'est noué. Le lien du partage. Et le lien du secret. Car tout deux dévoilais leur passé, leur histoire, leur fantômes à cet personne qu'ils connaissaient à peine, mais en qui ils savaient qu'ils pouvaient faire confiance. Kawanda raconta sa naissance, dans le secret d'une prison. Sa famille d'acceuil, son adaptation, plutôt dure aux foyer ou il fut placé ensuite. Puis enfin, il parla de sa deuxième famille d'acceuil, de ces personnes chez qui il vit, mais qui ferait tous pour le renvoyer de là ou il vient comme on se débarasse du glaire visqueux entravant nos cordes vocales. Puis Daisuke ouvrit la bouche, et il parla, ou plutot il vomis son passé, ses souvenirs qu'il avait enfermé dans le coffre noire de sa mémoire. Ses choses dont il auraient préferé ne pas parler. Né dans un couvent, fruit du viol d'une none par le curée, il était une honte, indigne d'éxister, abandonné aux soins d'un orphelinat catholique, il vécut en compagnie des moines, enrôler dans un religion auquels ils ne comprennait rien, un éxtrèmisme fanatique du catholicisme, mortification prière, confession, abstinance, et lavage de cerveaux, voilà ce qui a constitué son enfance. Puis ensuite, la pire des profanation de tout ces fondement qu'on a essayer de lui inculqué. Le viol. Le fugue. La prostitution. Il avait 15 ans à l'époque. Puis, enfin, la libération, à 16 ans l'émancipation, c'est toujours pratique d'être la pute d'un juge. Il avait raconter tous ça comme un parle d'une rumeur sans fondement qu'on rapporte quand même, comme si ce n'était rien. Mais Kawanda était troublé. En même temps il était charmé, charmé par la personnalité mystérieuse, presque innaccessible de Daisuke.

    19H. L'heure de rentrer. Arrivé à l'arrêt de bus de Kawanda, avant de partir de son côté, Daisuke pose lentement, et peu être un peu trop longtemps pour un simple bise, ses lèvres sur la joue de Kawanda. Brulant la peau, déchirant l'épiderme. Faisant rentré le dit Kawanda dans un état second. Complètement embrumé, à la sortie du bus, il se traina comme une âme en peine dans sa chambre, s'allongea dans son lit, sur le dos. Du bout des doigt, il caressa la parcelle de sa joue que Daisuke avait baisé. Il sentait encore la chaleur de ses lèvres, l'odeur de son haleine, la caresse de son souffle. Sa main presque animé par elle même exempte de tout contrôle, dirigé par un désir surpuissant glissa sur son torse jusqu'entre ses cuisses, son pénis gonflant peu à peu dans l'écrin de tissus qui l'emprisonne. Sa peau brûlante se met à exhaler quelques perles de désir tandis que sa main extripe son sexe en éréction pour le masser dans un mouvement vertical plein de langueur. Fermer les yeux, le souffle heurter, sa gorge râle dans un gémissement plaintif, écartant les cuisses puis se cambrant il renforce ses mouvement, des vas et viens saccadé, infernaux. L'endorphine et les téstostérones glisse dans son sang, dilatant ses veines, tandis que le liquide vitale gonfle son phallus remplis d'éspoir. Une petite larme impie se glisse au coin de son oeil. Tous ses muslces se tendent, à l'apogé du plaisir pendant que l'orgasme vient tambouriné à ses tempes et qu'il se deverse sur son ventre imberbe. L'esprit encore embrumé il se glisse sous la douche pour essayer de comprendre les sentiments nouveau qui se sont approprié son coeur. Pourquoi Daisuke l'attirait autant? Un chose est sure, il était pressé d'arriver au lendemain.

    [[i] Glisse toi à l'ombre de la lune
    argentée, tout contre le sein
    pendant des étoiles
    Ne pense plus qu'à lui
    l'heure est venue de voler
    ]


    * *
    *

    Le lien du coeur.

    Le matin pastel scintille à travers les rideaux ocres de la chambres. Kawana ouvre les yeux, pris de panique. A-t-il juste rêver? Tous ceci n'avait-il été qu'un pauvre fantasme? Sa poitrine se referme comme un étau clouté autour de son coeur tandis que l'angoisse l'assaille. Il se lève, fébril, la mine sale, les yeux hagards. C'est avec doute et éxitation mèlé de quelques notes parfumée d'apréhenssion qu'il descendit du bus. Tour de suite il le vit. Sa chevelure noire, son visage fin, presque androgyne, ses immenses et irèéls yeux violets posé sur lui. Et son sourire. Son putain de sourire. Un image transperce Kawanda, celle de Daisuke et lui, nu, l'un contre l'autre... Réprimant tous de suite ce fantasme et la vague de désir qui l'acompagne, il tente d'ignoré Daisuke, doutant toujours de la réalité des événements de la veille. L'ignoré? Il en était in-ca-pa-ble. Il avait succombé à l'âme tératologique de se coeur ébène renfermé dans un envelope dorée. Doucement, d'un démarche dansante et assurée. Daisuke fut vers lui, baisant tendrement la joue de kawanda.

    _ Salut.

    _ Salut

    “Le sang, partout, sur les corps déchiquetés, manteau vermeille. La vengeance. Il creveront tous. Car je suis l'ombre, je suis celui qui vois. Il creveront et je pourrais t'aimer.”

    _ bien dormis?

    “je n'ai rêver que de toi”

    _ Ouais. Et toi?

    “Je vous tuerais.

    N'entends-tu pas les cris des suppliciés? Les hurlements de ces âmes écorchées, qui grouillent et rampent, se trainant comme des larves. Ces horreurs sacro-saintes nées d'un monde à l'agonie, vomis des cuisses damnées de leurs mères déchirées. Ces petits êtres qui pourrissent, exhalant la déchéance d'un monde de mort. Petits crachats immondes, vomissures véreuses. Enfants de l'Enfer, poupées de son, poupées vaudous. Crachats immondes d'une société lépreuse. Votre âme pourrie par la gangrène. Serpents vicieux, poupées pédophiles. Bienvenu dans ce monde Obscure. Elles grouillent, ces petites choses. Un mer d'horreurs, de larves. Car c'est ce qu'ils sont, ni plus ni moins que des larves immondes. Enfants de terreurs. Et je suis l'un d'eux. Je ne pourrais dormir tant que je n'aurais pas écorché à mon âme les morceau pourris que ma vie à ronger, je n'aspire qu'à la vengeance.”


    _ Connu pire. Perso j'ai pas bien envie de me faire chier en cours aujourd'hui ça te dit de sécher?

    “au bout du monde je t'accom... quoi?!euh... vas-te recoucher...”

    _ Ouais.

    Mécanique robotique, programmé pour être affirmatif à ses désirs. Déshumanisé. Amoureux. Daisuke glissa son bras autour du cou de Kawanda pour se poser sur son épaule et l'entrainé vers un moto noir et luisante, une suzuki. D'un saut gracieu, une main sur le gidon, Daisuke s'installe à l'avant tandis que les élèves reluque avec stupéfaction Kawanda qui s'installe derrière. Daisuke? Kawanda? Amis? Premier potin de la journée! Le ténébreux demande à son amis de s'accrocher à lui tandis que dans une régurgitation de fumée, la moto démarre et atteint très vite, trop vite la barre limite de vitesse. Les bras enroulé autour de la taille de son chauffeur, Kawanda respire à plein née l'odeur de Daisuke. Le vent les flagelle, faisant volé les cheveux de l'Ombre, ses petits brins de noirceur qui viennent caresser le visage éxtatique de l'Ange. Les limites de la ville s'éstompent derrière eux tandis que la moto continu inexorablement sa course pour débouché sur le ruines d'un chappelles bordée de tombe blanchies pas le temps, rongé par la mousse. La moto s'arrette et c'est à contre coeur de Kawanda lache le corps de Daisuke. S'assélliant sur une des tombes, ce dernier commence à rouler un joint sous le regard curieux, et non moins gourmand de L'Ange.

    “L'odeur de la mort. Celle des chairs putréfiées. Cette odeur douce, fragrance de victoire. C'est l'odeur de ma vengeance.”

    _ Ta rien contre le shit?

    _A petite dose, je suis même pour.

    Envie de faire le rebel? Non juste le fait que les mensonges et les masques ne marchent plus en la présence de Daisuke, et qu'il parle, et qu'il se montre, pure comme un nourrisson, souillé comme lui, mais son sang, à lui c'est celui de son passé.

    _ Ramène ton fion. Qu'est-ce qu'il y a? Je pue.

    Kawanda n'avait pas eu la force en descendant de moto, de suivre son compagnonqui s'était allongé sur la tombe. Mais il ne pouvais rien lui refuser. C'est pour ça qu'il s'allongea à ses côté. Pas trop près non plus. Du moins, mais Daisuke n'était pas du même avis, il l'attira contre lui, la tête de Kawanda posé au creu de son épaules droite, puis il lui glissa le joint allumé entre les lèvres et posa la question qui lui tiraillais l'esprit.

    _ Sinon Kawanda. Dis moi. T'es célib'? On te voit pas souvent avec une fille!

    “peut-être parce qu'aucune fille ne m'a attiré comme toi tu m'attire?”

    _ Libre comme l'air. Malheureusement, je dois sentir le lépreux en rut, ou un truc dans le genre, parce que niveau vie amoureuse, et vie sexuelle (“pourquoi je lui parle de ça moi?”) Mon poignet gauche est mon seul et unique compagnon!

    “lèpre interne, tératologie de l'âme, décomposition du coeur, grangrène spirituelle”

    _Le lépreux en rut?! HAHA. Je vais te dire ça tout de suite.

    Lentement, très lentement, Daisuke plonge son nez dans les cheveux brun de kawanda, respirant son odeur, puis toujours aussi lentement, il glisse le long de sa machoire, se pose dans son cou, remonte à la commissure des lèvres. Kawanda frissonne, tandis que son désire indomptable taille son corps qui se met à suinter l'envie. Le front suant, recouvert d'un linceul de plaisir, il attend la suite. La vois du Demon s'élève, hachurée. Déchiquetée d'envie

    “Je te boufferais, mon ange”

    _Tu n'en as pas l'odeur, mais t'en as ptêtre le gout. Je peux goutter?

    “Embrasse moi”

    _ Je... oui.

    Et leur lèvres s'unirent. Daisuke s'allonge sur Kawanda, dont le dos se presse douloureusement contre le mabre brisé de la tombe sur laquelle il est couché. Mais qu'est-ce qu'il en a foutre. Les lèvres de Démon lui font tous oublié hormis la sensation de la chair sur sa chair. Des lèvres sur ses lèvres, du corps sur le corps. Son coeur bats de plus en plus vite tandis qu'il n'éprouve même plus le besoin de respirer, sa main se glisse dans la chevelure noire qui encabre leur baiser tandis qu'il ouvre les lèvres pour acceuillir dans sa bouche la langue chaude de Daisuke. Tous son corps frissonne, ses muscles se tendent, son corps entier appelle celui de l'autre. L'Ange et le Démon. L'étreinte profane, interdite, dans le secret d'un cimetierre perdus sous le regards désaprobateur d'un Christ rouillé. La main du Ténébreux s'inflitre comme un serpent sous la chemise de kawanda qui halete, les lèvres ont quitté les sienne pour se lover dans son cou, le sang tambourine à ses tempes, ses veines saturées de désir, il a l'impression qu'il va exploser à chaque caresse de cette mains, chaque cou de langue. Chaque souffle devient un supplice tant il est remplis de plaisir. Un gémissement vien se frayer un chemin entre ses lèvres, un râle sourd et plaintif. Son corps entier se consume. Puis le baiser s'arrêtte. Et les yeux se Daisuke vienne se poser dans les sien, lui aussi est en sueur. Un craquement déchire le ciel embrumé et une lumière balafarde vient auréolé le Noir Adonis, le rendement irrèél, comme une de ses créature des contes celte. Un svartalfsgard. Elfe Noir. La beauté des ténèbre. La pluie se met a tombé mais ils s'en foute. Blottis l'un contre l'autre il se laisse fouetté. Enlacé comme deux amants morts au mileu d'un forêt de croix. Comme roméo et Juliette. Et dieu pleurs sur le blasphème qu'est cette union. Car le beau s'est entiché de la Bête.

    Le démon parle de sa voix de cristale, sa voix de mensonge antithèse de toute pureté, la voxi de la magie, la voix de l'impurté. La voix de la vérité, la voix du vrais amour:

    _ Je t'aime.

    _Je ne sais ni comment ni pourquoi, mais moi aussi.


    [ "Aimer c'est voler si haut et toucher les ailes des oiseaux..."
    haha. Plume les ces petis salauds. Bouffe leur coeur, sois un vautour,
    car aimer c'est se damner ]



A suivre...
Ginko Mushi
Ginko Mushi
Elève de seconde

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